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Gastéropodes
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Les gastéropodes sont une classe de mollusques unisexués ou hermaphrodites, à la masse viscérale torsadée parfois nue mais généralement protégée par une coquille dorsale torsadée univalve.
Ils disposent d’un pied aplati en une large sole ventrale reptatoire ou natatoire, ainsi que d’une tête bien distincte souvent dotée de tentacules portant des yeux à leur base ou leur extrémité.
Habitat : Milieux humides (principalement)
Répartition : Globale sauf zones à climat polaire
Espérance de vie : 3-8 ans
Alimentation : Variable
Taille : 0,1-20 cm (Coquille)
Poids : Jusqu’à 1,5 kg
Taxon : Nom vernaculaire
Consommation : Modérée
Apparence
L’escargot est un pulmoné muni d’un large pied ventral servant à la reptation, surmonté d’une coquille univalve hélicoïdale s’enroulant généralement vers la droite, dans laquelle est logée sa masse viscérale en torsion.
Il dispose de deux paires de tentacules rétractiles sur la tête appelées couramment cornes ou antennes, dont l’une d’entre elles abrite les yeux.
La bouche comporte deux mâchoires avec de petites dents et la radula, sorte de langue dentée.
Généralités
Le terme escargot est un nom vernaculaire désignant les stylommatophores terrestres à coquille.
L’escargot est un animal hermaphrodite nécessitant la copulation croisée entre deux individus.
Il est principalement actif de nuit ou lorsque l’humidité est assez élevée, se rétractant à l’intérieur de sa coquille dans le cas contraire afin d’éviter la déshydratation. Cette coquille lui permet également d’hiverner et de se protéger des prédateurs.
L’escargot se déplace très lentement vers l’avant en contractant son pied (qui est en fait un muscle), se servant du mucus qu’il produit pour avancer plus rapidement ou se déplacer sur des surfaces verticales. En outre, cet épais mucus participe à sa régulation thermique et le protège des agressions bactériennes et fongiques.
Bien que disposant d’yeux, la vue est un sens peu utilisé par l’escargot qui se sert plutôt d’un bulbe olfactif disposé sous l'œil et de sa deuxième paire de tentacules, organe olfactif et tactile.
Certains peuples utilisent leur mucus pour le soin de la peau. Néanmoins, capable de causer des dégâts non négligeables aux plantations, ce ravageur polyphage est considéré comme nuisible en agriculture. Il est aussi, pour une raison évidente, symbole de lenteur.
Habitat : Sol et litière de forêts et zones humides
Répartition : Globale sauf zones à climat polaire et aride
Espérance de vie : 1 an
Alimentation : Phytophage / Détritivore
Taille : 1-25 cm
Poids : Jusqu’à 1 kg
Taxon : Nom vernaculaire
Consommation : Rare
Apparence
La limace est un pulmoné au corps mou et allongé, muni d’un large pied ventral servant à la reptation. Il dispose de deux paires de tentacules rétractiles sur la tête appelées couramment cornes ou antennes, dont l’une d’entre elles abrite les yeux.
La bouche comporte deux mâchoires avec de petites dents et la radula, sorte de langue dentée.
La limace dispose d’une zone distincte derrière la tête appelée bouclier ou manteau, qui recouvre quelques grains ou une lamelle de calcaire appelée limacelle.
Généralités
Le terme limace est un nom vernaculaire désignant les stylommatophores terrestres ne possédant pas de coquille externe.
La limace est un animal hermaphrodite nécessitant la copulation croisée entre deux individus. Animal fouisseur, elle s’enterre en journée et durant son hivernation, principalement active de nuit ou lorsque l’humidité est assez élevée.
La limace se déplace très lentement vers l’avant en contractant son pied (qui est en fait un muscle), se servant du mucus qu’elle produit pour avancer plus rapidement ou se déplacer sur des surfaces verticales. En outre, cet épais mucus participe à sa régulation thermique en la protégeant du rayonnement infrarouge et de la déshydratation, la protégeant également des agressions bactériennes et fongiques.
Bien que disposant d’yeux, la vue est un sens peu utilisé par la limace qui se sert plutôt d’un bulbe olfactif disposé sous l'œil et de sa deuxième paire de tentacules, organe olfactif et tactile.
Capable de causer des dégâts non négligeables aux plantations, ce ravageur polyphage est considéré comme nuisible en agriculture.